La Wallonie a réussi! Et elle réussi encore !

Si le critère principal pour la ‘réussite’ d’un gouvernement d’un pays où d’une région est de ‘distribuer un maximum d’argent publique à ses citoyens, alors la Wallonie a réussi. En effet, après presque un demi-siècle de règne de Elio Di Rupo à la tête du parti socialiste (PS) comme gouvernement régional en Wallonie – plus ou moins sans interruption et avec des divers partenaires d’autres partis – l’argent publique – càd l’argent des taxes des citoyens qui travaillent – est ‘bien’ distribués aux citoyens qui ne travaillent pas, qui sont malades, qui sont pauvres, qui n’ont pas de niveau de scolarité élevé, qui sont désavantagés, qui sont handicapé et / ou qui ne sont pas ambitieux. En Wallonie l’argent ‘publique’ – l’argent que l’on prélève tous les tous des belges qui travaillent – est surtout distribué via les Centre public d’action sociale (CPAS), les syndicats (allocations de chômage et d’autres institutions publiques  – via les fonctionnaires wallons – ou ‘semi-publiques, càd ce que l’on appelle en Wallonie les ‘Intercommunales’. Et avec des années de gouverne le PS a mis en place un système qui assure que leurs ‘fidèles’, leurs membres de parti, leurs loyaux supporteurs, leurs militants soient placés un peu partout dans les institutions publics et semi-publics. Pas de possibilité pour la Flandre d’éviter que chaque année – et depuis des longues années – beaucoup d’argent ‘publique’ gagné – et payé comme taxe – par les citoyens belges du nord du pays – soit transféré au ‘pauvres’ du sud du pays. En Belgique on appelle cela parfois aussi le transfert ‘nord-sud’. Et pendant ce temps-là, la dette de la Wallonie est énorme. Reste énorme. Et grandi. Année après année. De façon impressionnante. La Wallonie est une des plus pauvres régions de l’Europe. Depuis des année. Sans changement notable du ranking. Et depuis des années elle réussit à se cacher régulièrement derrière des statistiques nationales belges qui incluent systématiquement des résultats économiques de la Flandre.   

La Wallonie réussit. Elle reçoit de l’argent ‘publique ‘de partout. Également des institutions de l’Union Européennes. La Wallonie a réussit de s’attacher durablement à Bruxelles. La ville, qui héberge pas mal d’institutions publiques européennes : la Commission de l’Union Européenne, le Conseil de l’Union Européenne. Et ‘la moitié’ du parlement de l’Union Européenne (l’autre moitié siègent à Strasbourg en France). L’Union Européenne n’a pas choisi Bruxelles pour ses atouts, son infrastructure, sa réputation internationale, ses avantages par rapport à d’autres villes européennes. Mais plutôt par ‘compromis’. Pour ne pas devoir décider entre une ville en France ou en Allemagne ou en Espagne ou en Italie. C’est plutôt une ville de ‘fallback’, de secours. Pas de vrai avantages par rapport à d’autres villes, juste une ville qui est politiquement ‘neutre’ au niveau de l’Europe. Et les institutions publiques de l’Union Européenne à Bruxelles attirent de l’argent. De l’argent publiques – l’argent que tous les citoyens de l’Union Européenne qui travaillent paient à traves les taxes à leurs gouvernements de leur pays – et qui est transféré partiellement à l’administration de l’Union Européenne. Et de l’ragent privé. Via toutes les institutions qui ‘gravitent‘ autours des institutions de l‘Union Européenne à Bruxelles, pour faire du lobbying : cela fait pas mal de monde à travailler à Bruxelles ! Et ce monde à en règle générale pas mal de moyens financiers. Souvent grâce à des salaires assez ‘honorables’. Ou en payent peu – ou pas – de taxes du tout. Car : Qui veut déjà travailler loin de chez soi – à Bruxelles ?  

La Wallonie est plus grand que la Flandre en ce qui concerne la superficie. Or, il y a (beaucoup) moins d’habitants en Wallonie qu’en Flandre. La Wallonie est pauvre. Elle a peu d’ambitions. Et cela surtout dû à ces politiciens. Avec des exceptions tous de gauche. D’après des test réguliers européens le niveau des écoles en Wallonie est très faibles. Les écoles sont plutôt mal organisées. Et dans les rankings internationales publiques les universités wallonnes sont depuis des années toutes placées loin derrière les universités flamandes. D’après les tests Européennes dits ‘de Pisa’, le niveau des élèves wallons est parmi le pires de l’Union Européenne. Très loin derrière la Flandre.

Et la Wallonie continue comme cela. Depuis des années. Année après année. Elle n’est ‘demandeur de rien’. Effectivement : les socialistes ont intérêt à ne rien changer. Et de laisser l’argent publique arriver des ces citoyens qui travaillent et de Bruxelles et de la Flandre et le distribuer aux wallons dans le besoin. D’après des statistiques récentes officielles, à peu près 20% de la population wallonne vie en dessous du seuil de la pauvreté. Le taux de chômage reste énorme, – parmi les taux les plus élevés de l’Union Européenne. Et cela depuis des année. Sans amélioration notable. 

Et depuis des années le gouvernement wallon – mené par le parti socialiste – invente de plan de soutien économique. Souvent maladroitement (ou exprès ?) nommé après des plan de soutien économique d’après guerre. Comme ‘le Plan Marchal’.

Depuis longtemps le gouvernement wallon a réussi à fondre la Wallonie dans une Union Européenne, qui – dans l’ensemble – a pas ma de moyens financiers – et au niveau de la Belgique de se cacher derrière la région (et la ville) de ‘Bruxelles’ et derrière la ‘Flandre’– pour que l’on a plutôt pitié d’elle. Or, beaucoup de gens oublient qu’en règle générale les partis socialistes du monde sont souvent plutôt très fort pour distribuer l’argent qui est gagné / généré par d’autres. Qui travaillent, qui entreprennent, qui prennent des risques, qui sont actifs, ambitieux.  Et le parti socialiste wallon ne fait pas exception. D’accord : les parties socialistes du mondes – inclus le PS wallon – sont en règle générale aussi très fort pour défendre le personnes vulnérables, faibles, malades, oubliés, abandonnés, désavantagées, défavorisées et fragiles. Or, sans les personnes qui travaillent – et souvent de façon très dure – il n’y a a tout simplement pas d’argent à distribuer aux personnes ‘dans le besoin’. Le défi est – et reste – de définir de façon ‘juste’ et ‘honnête’ une population ‘faible’, vulnérable, désavantagée, étant dans le besoin. Car sont souvent systématiquement très proche les citoyens qui ne sont pas très ambitieux, qui n’aiment pas de travailler, de suer, de faire des efforts, de contribuer à l’ensemble d’une population, d’une société. Et parfois, dans certaines régions – motivé par certains groupements politiques – il y a plus de personnes, qui ne sont pas très ambitieuses, qui n’aiment pas travailler beaucoup, qui n’aiment pas de payer des taxes – comme les autres – qui n’aiment pas les ‘devoirs’ sociaux de citoyens pour contribuer au bon fonctionnement d’une société. Et qui aiment plutôt de systématiquement – et souvent par reflex très vite – ouvrir leu main pour demander de l’aide. Car c’est beaucoup plus facile. Pas forcement toujours très ‘agréable’, – or on s’y habitue avec le temp. Et avec le temp cela devient presque une espèce de ‘besoin’. Une espèce de reflexe à demander à la collectivité. Au ‘méchants’, qui gagnent ‘trop’. On apprend, on s’y habitue et on prend l’habitude à se positionner comme faible, vulnérable, désavantagé, – comme victime d’une société. On devient de mauvaise foi.

La Wallonie a réussit de survire depuis des années. Sans vrais ambition et grâce à l’argent des autres. Elle laisse les autres avoir des vrais ambitions, de travailler dur, d’entreprendre, de prendre des risques, d’innover.

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