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“Des policiers qui achètent des vêtements pour leur famille : la police fédérale met le holà
il y a 4 heures•
1 min InfoPar Philippe Carlot
“La Police Fédérale souhaite attirer votre attention sur l’utilisation de vos points pour l’acquisition de pièces d’équipement de base.
En effet, leur monitoring de commandes, a révélé une série d’anomalies, à savoir, des commandes excessives ou inappropriées (commande de tailles différentes, pantys pour des membres masculins, etc…)”.
Un fonctionnaire wallon, qui officiait au sein de la DGO4 du Service Public de Wallonie (SPW), dans la division Énergie chargée de la gestion des certificats verts, est soupçonné d’avoir détourné de l’argent provenant de la vente de certificats verts, rapporte mercredi « Sudinfo ».
Par Belga Publié le 12/06/2024 à 06:47 Temps de lecture: 1 min
Le fonctionnaire wallon, âgé d’une trentaine d’années, travaillait dans la division Énergie de la DGO4 du SPW, chargée de la gestion des certificats verts. Ces derniers sont octroyés aux particuliers afin de les inciter financièrement à installer des panneaux photovoltaïques en échange d’une compensation financière via ces certificats verts pendant 10 à 15 ans.
“Plainte contre la société belge de certification PEB Certinergie
A Bruxelles, les sociétés de certification PEB doivent envoyer des certificateurs agréés sur le terrain. Est-ce respecté ?
Un client et des anciens employés de Certinergie, une des grosses entreprises du secteur dénoncent des pratiques illégales. Nous sommes allés à leur rencontre.
Un client de Certinergie signale une anomalie concernant son certificat PEB
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Vous voulez vendre une maison ? Vous devez désormais contacter un certificateur qui mesurera la performance énergétique de votre bien. C’est le fameux certificat PEB.
C’est ainsi qu’après une recherche sur Google, Vincent Deroux appelle la société Certinergie pour une visite à domicile. Il recevra un G pour un appartement vétuste et mal isolé. Logique. Mais au moment de la vente, un des acquéreurs potentiels attire son attention sur la signature en bas du certificat.
Je me suis alors rendu compte que la personne qui a signé le certificat n’est pas celle que j’ai vue lors de la visite. En creusant la question, je me suis aperçu qu’il y avait une anomalie.Un ancien employé témoigne : Certinergie l’obligeait à aller sur le terrain sans agrément
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A Bruxelles, la législation l’impose : le certificateur PEB qui vient sur place doit être agréé.
Or, un ancien collaborateur de Certienergie, aujourd’hui licencié, nous affirme que son patron lui demandait bien de faire des relevés PEB, alors qu’il n’avait pas encore réussi l’examen et qu’il n’avait pas eu de formation complète.
J’allais travailler la boule au ventre de peur qu’un client ne le remarque. On me disait souvent que les certificateurs sont tous des escrocs et moi je me disais, s’ils savaient le quart de ce qui se passe… Contre ma volonté, j’étais impliqué là-dedans.À lire aussi
Une ancienne employée dénonce Certinergie auprès de Bruxelles Environnement
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Une autre employée de la même société a elle aussi été licenciée. Elle a depuis dénoncé les pratiques de Certinergie auprès de l’administration de contrôle Bruxelles Environnement.
Je traitais le mailing et régulièrement, nous recevions des plaintes de clients qui s’étonnaient qu’un agent de sexe féminin se présentait et qu’ils avaient une signature au nom d’un homme.
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La Cour de cassation a reconnu François Fillon coupable dans l’affaire des emplois fictifs de son épouse, Penelope Fillon. La Cour a ordonné un nouveau procès concernant les peines prononcées à son encontre et les dommages et intérêts.
Par AFPPublié le 24/04/2024 à 14:26 Temps de lecture: 1 min
La Cour de cassation a définitivement confirmé mercredi la culpabilité de François Fillon dans l’affaire des emplois fictifs de son épouse, mais la haute juridiction a ordonné un nouveau procès concernant les peines prononcées à son encontre et les dommages et intérêts.
Raphaël Meulders Journaliste service Economie Publié le 21-04-2024 à 14h02
L’incertitude plane actuellement du côté de Bierset. Suite à des recours, le Conseil d’État pourrait prochainement annuler le permis d’exploitation accordé en 2023 à l’aéroport de Liège, ce qui ne permettrait plus à l’infrastructure d’opérer. “Je n’ose imagine un tel scénario mais il n’est pas totalement exclu” explique Laurent Jossart, le CEO de l’aéroport, connu essentiellement pour son activité cargo. Liège n’a ainsi accueilli que 200 000 passagers en 2023, “soit 100 fois moins que Zaventem”. “Nous n’avons pas d’ambitions démesurées en termes de passagers. : Bruxelles et Charleroi assurent très bien leur rôle. Nous, notre focus, c’est le cargo”.
Plusieurs flux financiers sont pointés du doigt dans le rapport d’un audit de Deloitte.
Par la rédaction Publié le 29/02/2024 à 07:50 Temps de lecture: 2 min
Selon L’Echo, un audit mené par Deloitte relève des transactions financières douteuses entre 2014 et 2018 par l’ancien management de l’aéroport de Charleroi. Il s’agit du management en place jusqu’en 2018, comprenant l’ex-CEO Jean-Jacques Cloquet, le CFO Denis Tellier et l’ancien directeur technique Patrick Lambrechts.
Une série de flux financiers problématiques, pour un montant global de 7,2 millions d’euros, sont pointés du doigt dans le rapport. Notamment des sponsorings, des marchés publics et des bonus versés aux anciens membres du comité de direction de l’aéroport de Charleroi.
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